C’est avec beaucoup de bonheur que je remets en ligne les ouvrages de Martine Tollet, avec son autorisation. Poésie et traditions populaires dont je vous laisse découvrir les saveurs africaines et sumériennes.
L'enfant d'argile
Les Patakinès de Rafaël
Inanna et Dumuzzi
Deux auteurs viennent encore de me donner leur autorisation de publier leur oeuvre gratuitement, deux femmes, deux ouvrages qui traitent de spiritualité, chacun à sa manière.
Jeannine Le Guével-Ogor, DIALOGUE AVEC THÉRÈSE MARTIN
Florence Lesur-Thiébaut, LA BIBLE: HISTOIRE D'UNE TRADUCTION
Noël 2015
Chers amis et fidèles de l’Arbre d’Or,
Vous l'avez constaté, le site a fait peau neuve et il change de paradigme. Même adresse, mais nouveau look et usage simplifié. En effet, désormais nos ebooks sont offerts en téléchargement libre.
C’est un projet que j’avais de longue date, les ventes n’ayant jamais marché au point de dire que le livre numérique est un marché en soi. Le travail de gestion des ventes est devenu disproportionné par rapport aux gains et, en cette fin d’année 2015, j’étais face au choix de tout retirer ou du web ou passer au tout gratuit.
Après quasi un an de silence, me revoici à l'oeuvre pour emmener l'Arbre d'Or dans un nouveau paradigme, celui de la libre-connaissance. Ce mercredi 23 décembre 2015, j'achève de transférer les pages web d'un hébergeur à l'autre. C'est un beau passage en revue que je viens d'effectuer, celui des titres publiées et des articles de blog. Je me rends compte qu'au fil des ans, j'ai tricoté, maille à l'endroit, maille à l'envers, un peu tous les jours. Aujourd'hui, je regarde en arrière et je constate que j'ai créé une jolie toile, bel ouvrage au contenu substanciel. Je m'en octroie un peu de fierté que j'estime bien méritée.
On se fait vieux!
L'interface Arbre d'Or tout comme le site marchand commencent à accuser un âge canonique pour des pixels informatiques, et il est temps de refaire les peintures. C'est évidemment un gros chantier qui va prendre du temps et je compte sur votre patience et votre indulgence en attendant que ce soit fait.
Si vous rencontrez des bugs, des alertes 404, des fenêtres fermées ou des fins de non-recevoir, n'hésitez pas à me contacter pour résoudre les problèmes.
Voilà le temps des fêtes et des vœux. Au moment d’écrire les miens, ma plume est suspendue. Que vous dire en cette fin 2014?
Elle fut chaotique, cette année. Nous vivons des temps apocalyptiques dans le sens étymologique du terme qui, en grec, signifie «révélation». Ces révélations ne sont pas toujours de tout repos. Il y a celles, médiatiques, sur la marche du monde dont il est de plus en plus difficile de discerner entre l’info et l’intox. Il y a des mensonges autour de soi qui sont découverts et puis des compréhensions intérieures qui bousculent. Les consciences bougent, les consciences s’ouvrent dans une cacophonie croissante…
Il y a comme ça des gens dans nos vies dont la présence est une évidence. À tel point qu’on laisse le quotidien confisquer le temps à passer avec eux, parce que ce sont des êtres inconditionnels et permanents. Le jour où ils s’en vont, ça fait un grand vide. Jacques Pialoux est de ceux-là.
Vous avez aimé mon livre ? Dites-le!
Vous avez aimé n’importe quel livre de nos collections? Dites-le!
L’Arbre d’Or est l’entreprise des temps modernes, les livres y sont écologiques. Numériques, ils ne sont imprimés qu’à la demande sur du papier d’arbres consentants et enthousiastes exclusivement.
J’aime ma petite entreprise. Un arbre recouvert d’or dont les racines sont enfouies dans la connaissance ancestrale, dont le tronc s’élève au présent, dont les branches sont garnies d’études et de recherches, dont les feuilles sont autant d’écrits tournés vers le futur et dont les fruits sont la quintessence de la connaissance. Du moins est-ce ainsi que j’ai envie de le voir: lyriquement. Parce que ça fait joli…
Ma vocation profonde: diffuser la connaissance. Celle qui vient de loin dans l’espace et dans le temps, celle qui est actuelle, celle qui est tournée vers l’avenir et qui ouvre des brèches dans les mystères non encore dévoilés.
L’atelier epub est une ruche laborieuse. Encore quelques titres restaurés dont voici ce qui est exécuté:
Et voilà!
Le bon travail continue, n’hésitez pas manifester votre satisfaction ou à nous signaler ce qui a échappé aux moines copistes qui devraient songer à changer de lunettes.
Budapest is my homeland
Toronto is my home
In Toronto I am nostalgic for Budapest
In Budapest I am nostalgic for Toronto
Everywhere else I am nostalgic for my nostalgia
— Robert Zend, Beyond Labels.
J’ai connu Robert Zend en 1978 à Toronto. Décédé en 1985, sa femme Janine et sa fille Natalie ont créé un site web pour servir l’œuvre de ce créateur hors du commun, difficilement qualifiable. Oscillant entre la gravité et la dérision, il avait l’art de dire des choses profondes en les faisant passer pour des plaisanteries futiles …et le contraire. C’était un être d’une grande intelligence et je vous recommande la visite de son site (en anglais seulement) http://www.robertzend.ca
J’apprends à l’instant le départ pour le grand monde blanc d’un ami très cher et d’un auteur que nous publions, Alain Bocher. Alain était un conteur-né, et je me souviens d’une promenade en Brocéliande dans le Val sans Retour qu’ils nous avait fait visiter dans le «bon» sens. Le sens inverse de celui que tous les touristes empruntent, c’est-à-dire depuis le haut. Nous nous étions alors vus guidés dans un parcours initiatique à l’instar des chevaliers de l’époque partis à la conquête de leur Belle. En chemin, il fallait surmonter les obstacles, combattre les dragons, acquérir la sagesse. Pour cela, nous avions tiré chacun notre rune et Alain en avait décodé la signification pour nous.
Je me promenais récemment dans la campagne environnante, tandis que mon esprit, lui, vagabondait dans le cosmos. Aux confins de celui-ci, pour être précise, car je méditais sur le big bang. Alors que je me rendais compte que je n’avais pas la notion exacte de la théorie, il me semblait me souvenir qu’elle disait qu’un jour, paf, à partir de rien, l’univers est apparu et depuis, il est en expansion. J’ai fait une note interne: «vérifier cette information».
Comme je ne suis pas (encore) branchée sur internet télépathiquement, j’ai laissé mon esprit poursuivre et il s’est alors engagé un dialogue avec la voix intérieure:
— Je ne gobe pas, a-t-il affirmé péremptoirement.
— Quoi ? a demandé la voix…
Chez Arbre d’Or, nous avons un niveau d’exigence minimum pour lire vos manuscrits. Tout d’abord, nous aimons bien qu’on nous écrive personnellement et qu'on commence par nous dire bonjour. Nous acceptons volontiers les manuscrits virtuels sous format pdf ou Word, en attache de mail, à l’adresse contact du site. Le format et le choix de la police importent peu.
J’aime internet. J’aime l’idée que la distance n’est plus un obstacle aux rencontres et de ce côté-là, je suis servie. J’ai ainsi rencontré des gens merveilleux que je n’aurais pas rencontrés sans le web. Des auteurs que j’ai publiés, des clients satisfaits, des curieux aux questions intéressantes, des érudits aux informations enrichissantes…
Je reçois une fois de plus une invitation à rejoindre un réseau social du genre «livre de portraits» ou «liés à l’intérieur» avec comme argument que je serai enfin reliée à des gens avec qui je pourrai optionnellement, parler, échanger des photos, faire des offres ou des demandes d’emploi, etc.
