Deidre
TRADUCTION DE L. PONSINET
AVANT-PROPOS D'HUBERT D'ARBOIS DE JUBAINVILLE
C’est une histoire bien ancienne que celle de Deidre: «presque aussi ancienne, et non moins belle, disait naguère A. Rivoallan, que l’histoire d’Hélène de Sparte».
«Tandis que la femme de Fedlimid traversait la maison, l’enfant qu’elle portait dans son sein jeta un cri si fort qu’on l’entendit dans le château tout entier…». Deidre annonce sa naissance. Elle naît. Le druide annonce que l’enfant qui vient de naître fera couler des flots de sang. Aussi l’appelle-t-on Deidre, ce qui signifie, à peu près «Danger».
Le plus ancien manuscrit du Longes mac nUislenn (L’exil des fils d’Usnech) qui raconte l’histoire de Deidre, figure dans Le Livre de Leinster (XIIe siècle).
La traduction de L. Ponsinet, faite sur l’édition Windisch, a paru la première fois dans la Revue des traditions populaires en 1888. On y a ajouté une version française du Tochmarc Luaine, qui constitue l’une des suites de l’Exil des fils d’Usnech. Le présent document comprend :
— L’EXIL DES FILS D’USNECH
Version française du LONGES MAC NUISLENN par L. Ponsinet
— LA COURTISE DE LUAINE ET LA MORT D’ATHIRNE
Version française de Florence Thiébaut du TOCHMARC LUAINE 7 AIDEDH AITHIRNE ANDSO
— THE WOOING OF LUAIN AND DEATH OF ATHIRNE
English version by Withley Stoke
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