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Le zodiaque égyptien

Image de couvertureSuivi de MÉMOIRE SUR LE ZODIAQUE NOMINAL ET PRIMITIF DES ANCIENS ÉGYTPIENS par Rémi Raige

En analysant les tables attribuées à Ératosthène ou à Hipparque et en les confrontant aux zodiaques d’Esné et à ceux de Dendérah, Jollois Devilliers en démontre l’origine «très ancienne». Il met en évidence plusieurs faits importants et, entre autres, que le zodiaque circulaire est un planisphère céleste construit suivant une méthode particulière et ingénieuse; que l’époque de son établissement peut se déduire de la situation de son écliptique, c’est-à-dire de la ligne circulaire excentrique sur laquelle les signes du zodiaque sont placés; que les zodiaques rectangulaires sont aussi des planisphères, mais construits suivant une autre méthode de projection; enfin, que le centre du planisphère circulaire et la partie supérieure des autres appartiennent à l’hémisphère boréal, tandis que le cercle de bordure du premier et la ligne inférieure des seconds représentent l’hémisphère austral.

Il nous fait voir aussi comment l’observation a fourni les moyens de distinguer et de désigner chacune des parties du zodiaque, divisé successivement en douze signes, en trente-six décans et en trois cent soixante degrés; il met en évidence les rapports qui existaient à l’origine entre les douze divisions solaires et les vingt-huit maisons lunaires; enfin, il reconnaît les noms et les emblèmes sous lesquels les Égyptiens ont représenté les planètes.

On a joint en annexe à cet essai, le mémoire de Rémi Raige, Sur le zodiaque nominal et primitif des anciens Égyptiens.

 

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