Le pendule
Suivi de ABRÉGÉ DE MA MÉTHODE
«Chacun sait qu’au moyen d’un dispositif formant antenne, on peut intercepter les ondes sonores, lumineuses et autres. Or, il est une antenne naturelle, qu’on n’a peut-être pas assez étudiée jusqu’ici, c’est le cerveau humain — qui est infiniment supérieur à toutes les antennes mécaniques.
Et non seulement il peut servir de poste récepteur, mais il possède une puissance de radiation incalculable, ce qui fait un poste émetteur et récepteur de tout premier ordre. Il a, sur tous les autres foyers d’émission, la double supériorité incomparable, c’est que, d’abord, contre ses émissions, il n’existe aucun corps isolateur, et que, en second lieu, c’est une onde intelligente qui sait où elle va, et se rend à son but sans qu’aucun obstacle puisse l’en détourner.
Quant à sa précision, elle est merveilleuse. Cette onde peut aller repérer le corps qui se cache sous le pointe d’une aiguille et distinguer ce corps de celui qui se cache sous la pointe d’une autre aiguille, voisine de celle-ci d’un centimètre à peine sur la carte.
Je suis fermement convaincu qu’un jour viendra où l’on sera à même de mesurer et d’analyser, à l’aide d’appareils construits selon les données de la science, les radiations radiesthésiques qui émanent des corps. Ce jour, on saura formuler les lois régissant les phénomènes dont nous sommes les témoins enregistreurs ; on saura établir la théorie scientifique que nous pressentons obscurément, la théorie qui démontrera au profane que nous avions raison en proclamant que la radiesthésie est une science.»
L’abbé Alexis Mermet, curé de Jussy (près de Genève), qui fut le pionnier de la radiesthésie médicale et de la téléradiesthésie, livre ici son testament de sourcier.
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